• Marseillaise et propagande...

     

     Je savais les journalistes un peu ignares dans leur grande majorité et souvent dotés d'une inculture manifeste. Mais voilà, ce matin, je serais probablement tombé à la renverse si je n'avais pas été assis au volant de ma voiture sur la route de mon travail. Comme à l'habitude, ce matin du 23 janvier 2015, j'écoute les infos sur une grande radio, qui semble être "la première radio de France". Ce matin-là, une journaliste connue fait sa petite chronique et bien entendu, il est encore une fois question du terrorisme islamique et de la manière d'éduquer les jeunes à l'école. Il faut les obliger à apprendre la Marseillaise entend-t-on. La chroniqueuse n'hésite pas à s'avancer sur le couplet : "qu'un sang impur abreuve nos sillons". Et voilà notre bonne-femme affirmant d'une manière péremptoire que ce couplet n'est en aucun cas xénophobe et qu'il parle du "sang impur" des pauvres paysans français ("en 1792, la France est agricole" rappelle t'elle) en regard du sang des nobles jugé "pur" sous l'Ancien Régime. Elle a probablement oublié que beaucoup de "ci-devant" nobles dirigeaient ces armées, sans quoi rien n'était possible, pendant que les "bobos" parigots d'hier, les Maximilien de Robespierre et les Lazare Carnot auraient probablement gravement taché leur culotte au premier coup de fusil.

             Je ne sais pas d'où vous sortez vos âneries madame, probablement de théories fumeuses mal dégueulées par de pseudo-historiens payés pour faire passer la pilule des "valeurs de la république" dans les "banlieues chaudes" où cette dernière ne peut que s'agenouiller et lécher les bottes de l'Islam radical. Madame, malgré votre propagande prépayée et prémâchée, je crains que vous ayez beaucoup de mal à faire passer ce couplet pour un message de paix. Lorsque vous aurez lu un tant soit peu des textes de l'époque révolutionnaire, vous comprendrez rapidement que le "sang impur" est celui des "ennemis de la liberté". La liberté au sens des révolutionnaires eux-mêmes bien entendu, c'est-à-dire contre tous ceux qui tentent à l'époque de ramener la France à la raison : les prussiens, les anglais, les autrichiens, les espagnols, à qui le régime républicain a déclaré la guerre, les émigrés nobles qui espéraient sauver leur pays depuis l'étranger et bien entendu les Vendéens et les Bretons qui avaient osé préférer le régime précédent au régime de la Terreur. Les Vendéens, cette "race abominable" comme on se plaît à les décrire dans les salons parisiens et qu'il "faut exterminer jusqu'au dernier". Le voilà votre "sang impur" et tous les historiens sérieux sont d'accord sur le sujet, à commencer par les plus favorables à la révolution de 1789, ce qui est tout de même un comble, si j'en suis vos affirmations. Il n'y a donc aucun doute sur le sens des paroles dont nous parlons et je pense qu'au fond de vous, vous en êtes parfaitement consciente. Ceci dit, il est probable que vous suiviez l'air du temps et peut-être même vous a t-on imposé cette version sur commande d'instances supérieures, quitte à exposer une contre-vérité historique patente et du plus éclatant ridicule.

     Pensez-vous réellement, que les personnes à qui votre harangue est adressée seront dupes ? Si bien des journalistes sont souvent dotés d'un QI de betterave, il n'en est pas forcément de même chez le reste des français.

     D'habitude je n'aime pas commenter l'actualité sur ce blog, mais là, la propagande et la connerie ont dépassé les bornes. Il y a aujourd'hui un gros problème en France, qui est le même chez beaucoup de nos voisins européens. Ce problème était prévisible depuis plusieurs décennies, mais la naïveté, la stupidité et la politique de l'autruche l'ont toujours occulté avec force, à tel point que l'aborder était un crime de lèse-république. Elle est bien empotée aujourd'hui votre république avec ses "valeurs", se prenant les pieds dans le tapis de l'histoire, avec son passé sanguinolent et son avenir incertain. Ce ne sont pas les mièvreries des "valeurs" et de la "laïcité", qui parviendront à endiguer la vague destructrice qui s'avance. Tiens, en parlant de laïcité. Celle-ci, n'avait-elle pas pour but de départ que la déchristianisation du pays ? Et maintenant, qu'elle a accompli son œuvre, quel est son avenir vis-à-vis des autres religions ? Permettez-moi de rester circonspect sur le sujet... Je lis discrètement mais régulièrement des blogs chrétiens, juifs (et je ne parle pas de sionistes furieux, mais de personnes nées juives et qui ne mettent pas le feu et n'agressent personne) et musulmans. Il est très clair que pour les deux premières catégories, c'est la peur qui se ressent. Pour les derniers, les choses sont plus troubles. Certains sont farouchement conquérants et intransigeants, d'autres ne revendiquent rien et se taisent. Comment interpréter ce silence ?

     Pour finir : le massacre des dessinateurs du journal bien connu me touche en tant que français, mais je n'irais pas manifester pour des gens qui passaient leur temps à montrer le Pape en pédophile sodomite et je ne trouve pas spécialement intelligent de se moquer d'un personnage, prophète ou non, mort il y a 1383 ans. A fortiori, lorsque le journal en question se revendiquant comme subversif, n'attaque jamais le pouvoir en place d'aujourd'hui et de front, voire même couche avec. Nous n'avons pas les mêmes notions de liberté je crois... La liberté se situe plus haut que la moquerie permanente envers son prochain, enfin il me semble.

     Au final, cette république qui s'auto-sodomise, ne me plaît toujours pas...

     RL

    Janvier 2015

     

     

    Marseillaise et propagande....

     

     

     

     


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    Un curieux cimetière...

     

     

    C'est un article un peu inhabituel que nous présentons ce soir, puisqu'il s'agit de la sépulture d'un farouche jacobin de Breuil-Barret. Ceci dit, l'histoire vaut bien que l'on s'intéresse à tout le monde, à fortiori lorsqu'il s'agit de personnages tombés dans l'oubli. Notre "Maraichine Normande" a publié récemment un texte particulièrement savoureux sur Jacques-Charles Guichet et les nombreuses aventures qu'il infligea au culte catholique à Breuil-Barret. Il faut lire l'article (en cliquant ici) pour bien comprendre de quel personnage nous parlons.

     C'est ainsi que nous nous sommes rendu aujourd'hui à la Gazillière (ou Gazelière) sur le lieu de la sépulture de ce monsieur Guichet qui n'est pas enterré dans le cimetière paroissial mais sur l'un de ses domaines, au beau milieu des champs, en compagnie de sa femme, de sa fille, de son gendre, de son petit-fils et de l'épouse de ce dernier.

     Jacques-Charles Guichet, né en 1754, décédera en 1826. Le cadastre de 1835 indique clairement la position du cimetière privé :

     

    Un curieux cimetière....

     

    Un curieux cimetière....

     

    Sur le terrain :

     

    Un curieux cimetière....

    Un curieux cimetière....

     

    Un curieux cimetière....

    Un curieux cimetière....

    Un curieux cimetière....

    Un curieux cimetière....

    Un curieux cimetière....

     

     L'entrée de l'enclos étant totalement condamnée par la végétation et mon mal de dos ne me permettant pas la gymnastique nécessaire pour y entrer, c'est la "Maraîchine Normande" elle-même qui s'est aventurée au milieu des tombeaux. La plupart de ceux-ci sont brisés, soit par le temps, soit par le vandalisme et ma compagne n'était guère rassurée, s'imaginant qu'un crâne grimaçant pouvait à tout moment lui sauter à la figure à travers l'épaisse végétation. Il n'y a absolument plus aucune inscription de lisible sur les monuments, nonobstant ce qu'annonce l'article de La Maraîchine Normande, repris du Bulletin de la Société des Antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers en 1958. Contrairement à ce que nous avancions dans la première mouture de cet article, et grâce à un réexamen de nos photos, les six tombes sont bien présentes. La sixième est tellement envahie qu'elle ne nous était pas apparue au départ. Nous remettons le croquis à jour : 

     

    Un curieux cimetière....

     

     Une rue de Breuil-Barret portant le nom du petit-fils de Jacques-Charles Guichet...

     

    Un curieux cimetière....

     

    ... Et une autre celui de notre personnage lui-même.

     

    Un curieux cimetière....

     

     Je pense que monsieur Guichet a dû être surpris d'être ainsi visité à sa dernière demeure et il y a sans doute bien longtemps que personne ne pense plus à lui, ni ne vient fleurir sa tombe. Ceci dit, aimait-il les fleurs ?

    Quoiqu'il en soit, que lui et sa famille reposent en paix...

     

     

     

    RL

     Janvier 2015

     


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    Le curé Davaud...

     

     

     C'est un personnage bien mystérieux que nous abordons ce soir, en la personne du curé réfractaire de Saint-André-sur-Sèvre, Julien Davaud. A l'heure où nous écrivons ces lignes, nous ne savons pas grand chose de lui, sinon qu'il fut exilé en Espagne et ne semble pas avoir reparu dans le Bocage. Nous devons la découverte de son registre à notre "Maraîchine Normande" qui par ailleurs, à publié récemment un article sur son successeur, monsieur Perrière.

     

    Voici donc, ce que les registres paroissiaux de Saint-André-sur-Sèvre nous apprennent :

     Octobre 1774 première signature de P.J. Davaud vicaire de St-André - Curé Epron.

     P.J. Davaud signe les registres de Saint-André-sur-Sèvre en tant que prêtre curé à partir du 27 mars 1784 (le 22 mars 1784, R. Epron signe son dernier acte, sur ce même registre, en tant que curé de Saint-Marsault).

           En mai 1787, P.J. est secondé par Jean-Charles Fasilleau, vicaire et quelquefois par M. Thimothé O'Beary aumônier du château de la Jarrie.

            P.J. Davaud semble peu actif en 1789.

           1790, P.J. Davaud reprend son activité. Le 26 janvier, le vicaire quitte sa paroisse et est remplacé, le 4 avril par M. Bremaud.

        Le 15 aoust 1791, l'abbé Davaud rédige 4 feuillets d'actes qui commencent ainsi :

     

           "Registre de baptêmes et mariages de la paroisse de St-André-sur-Sayvre pour le temps de l'intrusion de M. Chaloux (Chaillou ?) qu'on a constitutionnellement nommé à ma place et que contre laqu'elle nomination, j'ai protesté et proteste. A St-André, quinze aoust mil sept cent quatre-vingt onze. Signé : Davaud, Curé de St André sur Sayvre."

          21 août 1791, Davaud disparaît ; à cette date, M. Chaillou est curé de Saint-André-sur-Sèvre et commence à signer les registres jusqu'en décembre 1791.

         Le 6 février 1792, Davaud signe l'acte de baptême de Jean Rouger, fils de Pierre, bordier au plessis, paroisse de Cerizay.

      

     

    Le curé Davaud....

     

         Sur un acte daté du 18 décembre 1791, l'abbé Davaud signale qu'il a baptisé, DANS SON ORATOIRE, Marie Cireau du Puytarault ; de même le 31 janvier 1792, il baptise Louis Soibleau (Poibleau ?) DANS SON ORATOIRE.

        Le dixième jour de février 1792 a lieu deux mariages, celui de Pierre Boisseau et Marie Arpin ; Davaud précise dans son acte : "DANS MA CHAPELLE, MON ÉGLISE ÉTANT OCCUPÉE PAR UN INTRU" ; de même pour le second mariage de Jean-Herbert et de Françoise Ertau (Bretau), de la Boîtière (Bottière ?).

     

    Le curé Davaud....

     

        Le 2 mars 1792, l'abbé Davaud baptise "DANS SON ORATOIRE", Jacques Dugas, fils de Pierre, meunier au moulin de la Roche de Cerisay.

          Dernier acte de ces quatre feuillets signé par l'abbé Davaud date du 15 avril 1792.

          Ensuite, les registres reprennent en février 1792 et sont signés par M. Chaillou jusqu'au 1er janvier 1793.

     

    ***

     Le 19 novembre (1792), à trois heures et demie de relevée, se présente à la municipalité des Sables d'Olonne, le citoyen Laurent Bouyer, maître du brick La Providence, de ce port, lequel déclare vouloir embarquer à son bord le nombre de trois prêtres non assermentés et les conduires en Espagne, soit à Saint-Sébastien ou en tout autre port de ce royaume, lesquels sont :

     

    1 - JULIEN DAVAUD, ex-curé de la paroisse de Saint-André-sur-Sèvre, district de Châtillon ;

     

    2 - FRANCOIS-JOSEPH BERNARD, ex-chanoine au château de Grand-Loup, district de Parthenay ;

     

    3 - RENÉ-PIERRE ÉPRON, ancien curé de Saint-Marsault, district de Châtillon (Deux-Sèvres).

     

    Extrait : La préparation de la guerre de Vendée, 1789-1793 - Tome 3 - par Ch.-L. Chassin

     

     Nous étofferons cet article au fur et à mesure de nos découvertes et nous laissons pour ce soir l'inquiétante et froide nuit d'hiver se déposer sur Saint-André-sur-Sèvre et ses mystères.

     

     RL

    Janvier 2015

     

    Le curé Davaud....

     


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    Le Puy-Thareau...

     

     

    Il est encore un peu tôt pour parler en détail du village du Puy-Thareau en Saint-André-sur-Sèvre. Nous dirons juste pour ce soir qu'il abrite l'un des sanctuaires de la Petite-Eglise mais aussi qu'il fut la cachette d'un prêtre réfractaire jusqu'en 1792. Nous reviendrons sur ce dernier détail ultérieurement sur Chemins secrets avec quelques informations inédites.

     Pour l'heure, afin de permettre au lecteur de se plonger au plus profond de l'ambiance hivernale en Bocage, nous lui offrons quelques vues de ce hameau riche en mystères. Notre article se termine par un "jeu des différences" entre la vue aérienne actuelle du village et le cadastre napoléonien de 1809...

     

     RL

    Epiphanie 2015

     

     

    Le Puy-Thareau....

     

     

    Le Puy-Thareau....

     

    Le Puy-Thareau....

     

    Le Puy-Thareau....

    Le Puy-Thareau....

     

     

    Le Puy-Thareau....

     

    Le Puy-Thareau....

     

     

    Attention à l'image cadastrale qui n'est pas tout à fait orientée au Nord...

    Le Puy-Thareau....

     

     


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    La chapelle de la Planche-Grelet...

     

     

     C'est une promenade sous un beau soleil d'hiver que nous avons réalisée aujourd'hui. Beau soleil d'hiver mais aussi dégel du chemin qui a l'issue de la balade, avait transformé nos chaussures en une paire de masses boueuses informes...

     

     C'est du côté du village des Gardes, que nous avons trouvé la chapelle de la Planche-Grelet, vouée au combat contre la peur et les forces du mal. Nous mettons ci-dessous son histoire, retranscrite par le site de la région de Chemillé :

     

    "Vers la fin du XVIIè siècle, en ce lieu de la Planche Grelet, le voyageur pouvait à peine se frayer un passage à travers les taillis et les champs de genêts. Les sentiers, connus dans le pays sous le nom de chemins creux étaient mauvais et, pour traverser le Pont aux jars, ce ruisseau qui coule au fond de la vallée, il n'y avait qu'une Planche ou plutôt un tronc d'arbre surmonté d'une rampe, aussi mal arrimé l'un que l'autre.

     C'est sur le pont primitif que l'on appelait la Planche Grelet. De plus, tout près de là, se trouve la pierre Bâl, celle-ci aurait servi vraisemblablement aux sacrifices druidiques. Ce monument inspirait alors l'horreur, soit par l'imagination, soit par superstition, en laissant supposer que les esprits malins avaient pris possession de ce lieu, témoins d'ailleurs de plusieurs crimes, et où personne ne passait sans effroi.

     Quoi qu'il en soit, aux environs de 1697, en pleine nuit, un cultivateur, Michel Plessis, fut saisi sur la Planche Grelet d'une peur effroyable. Il crut être attaqué par une bête méchante qui lui serrait la poitrine et menaçait de le jeter à l'eau. Dans son épouvante, il se voua à la Sainte Vierge, et lui promit de venir la prier en ce lieu s'il était délivré. Rassuré aussitôt, il put entrer sain et sauf, chez lui, au village de la Bordellière situé non loin de là.

     Dès le lendemain, il tenait parole et pratiquant une niche dans un ormeau, il y plaçait une statuette qu'on invoque depuis lors contre la peur.

    En 1850, Dominique Plessis, arrière petit fils de Michel Plessis fit construire un petit oratoire où fut placée la Vierge. En 1858, cet édifice fut augmenté d'un auvent pour protéger la Vierge de la pluie.

     En 1865, il fut complété et prit la forme d'une chapelle qui dura jusqu'en 1892.

     Le 7 juillet 1861, une noble dame avait déposé, derrière la statue de Marie, un voeu, non signé, mais cacheté et scellé de ses armes. Plongée dans une extrême affliction, elle demandait pour tous les siens la protection de la Reine du Ciel et, promettait en retour, la somme de mille francs pour la construction d'une chapelle à la Planche Grelet.

     Ce billet fut trouvé par Monsieur le Curé des Gardes qui, après d'actives recherches, finit par découvrir le nom de la généreuse donatrice. Elle ne vivait plus mais ses voeux avaient été comblés. De ses nombreux enfants, deux s'étaient voués au service des autels et tous étaient restés fidèles à leur Dieu. Ils firent honneur à la parole de leur mère et grâce à eux, fut construite la chapelle actuelle de la Planche Grelet. "

     

     

    Le chemin d'accès à la chapelle :

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

    La chapelle de la Planche-Grelet....

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....


     La chapelle étant malheureusement fermée, nous n'avons pas pu faire de photos correctes des superbes vitraux. Nous nous consolons en pensant qu'un tel lieu ouvert au public toute l'année ne manquerait sûrement pas d'être vandalisé dans les moindres détails par "les forces de progrès" du "bien vivre ensemble".

     Les vitraux sur une carte postale ancienne

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    Photos partielles faites au travers de la porte

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    Pierres mystérieuses...

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    En arrière-plan le clocher des Gardes

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    Le pont qui a remplacé la "Planche-Grelet"

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

    Retour à la voiture, marchant dans une marmelade aussi gluante que glissante...

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    Ainsi s'est achevée notre première sortie de l'année 2015 pour Chemins secrets, dans le calme authentique d'un après-midi où les promeneurs se faisaient rares, terrassés par les excès de champagne bon marché et acculés dans un canapé à écouter le ronronnement agressif de la télévision et de ses publicités...

     

     RL

    Jour de l'An 2015

     

     

    Nous revenons sur cet article car nous avons pu visiter la chapelle ce matin. En effet, Nicolas, l'administrateur du blog "Vendéens et Chouans" nous avait prévenu que l'association qui gère la chapelle allait y effectuer des travaux aujourd'hui. Ce sont les bénévoles de l'association "Les amis de la Planche-Grelet" qui nous fort bien accueillis ce matin et nous ont permis de faire des photos du monument habituellement fermé au public.

     On verra le compte-rendu que le blog "Vendéens et Chouans" en a fait de son côté.

     

     RL

    Mars 2015

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

     

    La chapelle de la Planche-Grelet....

     

     


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