• Un seul nom vendéen suffit....

     

     

     

    Un seul nom Vendéen suffit !

     

     

    Réflexions sur la notion de noblesse de cœur

     

     

     

    Un seul nom vendéen suffit....«  La véritable noblesse est celle du coeur » me disait dernièrement un de mes amis Vendéen, lui aussi descendant. Oui, descendant de combattants royalistes, de génocidés, de laboureurs, tisserands............ de gens obscurs traînant une odeur de roture, de Roture ? Quel joli nom pour le candidat au changement d'état civil : Jean de Roture, quel chic !

     

        Le Vendéen, comme le vrai noble ne s'est donné que la peine de naître, les autres se sont donnés un mal de chien pour répondre à leur vocation aristocratique ou vendéenne.

     

        Comme disait Patrice du Puy : «  C'est comme lorsque vous achetez un polo Lacoste, vous avez peut-être dépensé 150 euros pour en avoir un vrai. Si vous croisez une personne qui en porte un faux venu de Chine et payé 15 euros, vous ne serez pas forcément très heureux. Vous aurez peut-être envie de dire, à un moment ou à un autre, que votre nom est authentique ». Mais la vieille noblesse, comme les Vendéens authentiques, contrairement au textile, ne sont protégés par aucune loi anti-contrefaçon.

     

        En effet, les Vendéens se distinguaient du reste de la France par des qualités spécifiques à des hommes et à des femmes qui croient en Dieu, en leurs représentants, à leur roi, qui aiment leur terre et ne souhaitent aucun changement dans le déroulement de leur vie. Ils étaient animés d'une grande générosité, d'un dévouement sans borne dans la cause royale et d'une grande hauteur d'âme. Valeurs qui se perpétuent encore aujourd'hui dans certaines familles vendéennes.

     

        Dans notre République égalitaire, un seul label en fin de compte conserve toute sa valeur : LA NOBLESSE DE COEUR .

     

    Extraits du site de Christophe Plotard - journaliste indépendant. - « Sous de nobles apparences ».

     

    Xavier Paquereau pour Chemins secrets,

    Juillet 2015

     

    "Vestiges" de vendéens, après la bataille du Mans (INRAP-2009)

     

    Un seul nom vendéen suffit....


  • Commentaires

    6
    Le Baron
    Lundi 6 Juillet 2015 à 13:18

    Bien d'accord avec vous Hardellière.


    Deux générations de Vendéens n'ont pas fait leur travail de mémoire, c'est grave. Aidées par la propagande républicaine et un clergé gauchiste, (le mémoricide), ces deux facteurs ont fait le reste . Je considère cela à de la lâcheté et à de la traîtrise. Heureusement, comme le souligne Monsieur Paquereau, certaines familles Vendéennes conservent les valeurs de ce trésor ancestral.


    Le Vendéen de souche, effectivement est une race disparue. En ce qui me concerne, chez mon fils, il y a deux Brigands.  Donc une quenelle à Cordelier pour ce 6 mars 1794, il a tué un des mes ancêtres, mais je suis là et j'emmerde la république.


     

    5
    Hardellière
    Dimanche 5 Juillet 2015 à 20:47

    Merci, c'est noté.  Veuillez m'excuser pour la faute,  "nous comptabiliserons".no

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    4
    Dimanche 5 Juillet 2015 à 19:07

    Toutes le sorties organisées par "Chemins secrets" font l'objet d'un envoi de mails groupés. Je note le vôtre. Bonne soirée.

    3
    hardellière
    Dimanche 5 Juillet 2015 à 18:36

    Super!   faites moi savoir pour la date.  Bon Dimanche.

    2
    Dimanche 5 Juillet 2015 à 18:06

    Bonjour Hardellière,

    Il y a un petit moment que nous n'avions pas de vos nouvelles. Justement, je compte organiser une petite sortie par chez vous d'ici quelques mois, histoire de rappeler le passage des soldats du progrès...

     

    Félicitations pour votre "montée en grade". wink2

    1
    hardellière
    Dimanche 5 Juillet 2015 à 17:14

    Le "vendéen de souche" qui existait à cette époque est une race bel et bien disparue. Les descendants de ces héros, pour la plus part, ne connaissent même pas l'histoire de leur aïeux. Mais le mois prochain, chez mon fils, nous comptabiliseront un descendant de brigands en plus.cool Et comme dirait Dieudonné  "QUENELLE"  à Crouzat. Dommage pour lui, il n'aurait pas du en rater un ce 25 janvier 1794.

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