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Le Souterrain au Trésor...
« Le Souterrain au Trésor », mon premier roman…
Les lecteurs de Chemins secrets ont sans doute remarqué un ralentissement dans le rythme des mes articles depuis ces derniers mois. Ce furent en premier lieu en raison d' une suite de soucis de santé qui, s’ils ne sont pas réglés de manière définitive, sont moins pressant désormais. J’avoue cependant vous avoir fait quelques cachotteries ; en effet, un beau soir de janvier 2014, je me suis mis sur un coup de folie à écrire une histoire, l’un de ses histoires que l’on se raconte d’abord à soi-même avant d’en faire part à ses proches. Tantôt matraquant le clavier comme un furieux, tantôt préférant les longues soirées sur les archives, parfois un tantinet démotivé, avant de repartir dans la tourmente de l’écriture, je suis enfin arrivé à un petit roman, disons plutôt une nouvelle, sur fond de Guerres de Vendée et d’époque actuelle.
Ce livre, que je voulais avant tout comme une histoire à raconter à mes amis, a demandé du temps avant la publication tant j’hésitais à le soumettre au grand public. C’est mon éditeur, Armand Bérart, qu’il est inutile de présenter, qui me poussa pour une sortie au grand jour. Je lui dois donc mes plus chaleureux remerciements. Bien entendu, il y eut avant lui, ma femme, Nadine, que vous connaissez sous le nom de son blog « La Maraîchine normande », ma belle-fille Mélissa, qui ont pris toutes les deux du temps pour me relire et discuter du texte, quelquefois à 3 h 00 du matin dans l’ambiance enfumée de mon bureau (j’ai arrêté le tabac il y a maintenant 21 mois). Ce livre, disais-je, est aussi né de la volonté et de l’aide de plusieurs amis proches. Angélique Billy-Gonnord, amie de longue date, passionnée par les Guerres de Vendée dans le Nord des Deux-Sèvres, Nicolas Delahaye, grand ami et rédacteur en chef de la revue du « Souvenir Vendéen », et qui furent les premiers relecteurs ainsi qu’ Anne-Dauphine Docq, Martine et Jean, pour leurs heures passées à lire, relire et parachever le travail. Un grand merci à l’écrivain vendéen Jacques Chauvet pour sa préface un brin panégyrique qui donna aussi dans la photographie de couverture, avec le jeune photographe Quentin Dubois, tous deux spécialistes en la matière, et dont le travail fut finalisé par Jérôme pour l’impression. Un grand merci également au conteur Marc Deborde qui voulut bien jouer les « galopins » pendant 2 h 30 dans un chemin authentique du pays cerizéen, à la romancière et illustratrice Juliette Chaux-Mazé qui m’a offert l’un de ses plus beaux dessins, et enfin tous ceux avec qui j’échange depuis des années sur le sujet des Guerres de Vendée.
Un deuxième opus est en cours à l’heure où j’écris ces lignes, peut-être pour bientôt, si Dieu le veut…
RL
Novembre 2018
Le livre est ici en cliquant sur l’image.
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