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    René Vigneron, de la paroisse des Epesses, 

    tué aux Epesses le 21 janvier 1794. 

              

     

                 

    René Vigneron....René Vigneron, soldat de l'Armée Vendéenne est dit « tué aux Epesses le 21 janvier 1794. » Que s'est-il passé en ce lieu pour cette période ?

      Le 21 janvier, c'est le départ des Colonnes Infernales, jour anniversaire de la mort du Roi Louis XVI....

    « La Colonne n°3 commandée par Boucret, se divise en deux colonnes d'environ 8.000 hommes chacune :

    - La colonne de Boucret (Cholet, Maulévrier et ses environs, Saint-Laurent-sur-Sèvre).

    - La colonne de Caffin (Cholet, La Tessoualle, Châtillon (Mauléon) Saint-Amand et Les Epesses.  »  

     

    La fameuse colonne de Boucret, «  part de Cholet, au centre de la Vendée. Le 21 janvier, Boucret campe à la Tessoualle qu'il pille. Sa seconde colonne, commandée par Caffin, va s'établir quelques jours à Maulévrier pour en razzier les alentours. Le lendemain Boucret abandonne la Tessoualle en feu, et se dirige vers Moulins dévastant toutes les métairies sur son chemin. Caffin ravage tout le pays maulévrais : Yzernay, Toutlemonde, les Echaubrognes, etc... Un détachement détruit toutes les métairies entre Maulévrier et Saint-Laurent-sur-Sèvre, massacrant les habitants. Boucret progresse vers Châtillon le 23 janvier, Saint-Amand le 25, les Epesses le 26. Le bourg est pillé, incendié, le château du Puy-du-Fou s'embrase. Pendant trois jours, la colonne va s'acharner sur ce pays... »

     

    « Le Dimanche 26 janvier 1794, la colonne de Boucret arrive aux Epesses à cinq heures du soir et rassemble les officiers municipaux pour obtenir des renseignements sur la position des Brigands. Ceux là les prétendent aux Herbiers. Boucret exige de la municipalité qu'on cuise du pain pour la troupe. » (page 111, Itinéraires de la Vendée Militaire).

    « Le mardi 28 janvier, Boucret campe toujours aux Epesses. Ses soldats ont découverts un prêtre insermenté, l'abbé Chapelain, caché dans un arbre creux. Il est immédiatement fusillé. Il envoie à Cholet deux voitures, l'une de grains et de fusils, l'autre de vases sacrés et de linge, escortées par quatre gendarmes. » (page 113, Itinéraires de la Vendée Militaire).

    Le 1er février, Boucret est à Saint-Laurent-sur-Sèvre. Il fait sabrer et empaler deux religieuses de la Sagesse, trois frères coadjuteurs de la Compagnie de Marie et fait fusiller quinze hommes. Boucret est l'un des pires commandants des Colonnes Infernales républicaines. C'est le parfait criminel de guerre.

    C'est aussi aux Epesses que le criminel de guerre républicain Amey, dont le nom est inscrit sur l'Arc de Triomphe, a fait jeter des femmes et des enfants dans des fours chauffés à blanc en mars 1794....

     

    C'est donc au cours de cette période que René Vigneron disparaît, son épouse, lors de la demande de pension, affirme qu'il a été tué le 21 janvier 1794, je pencherais pour la date du 26, mais....

     

    Un mot sur Jean-Pierre Boucret, général républicain - criminel de guerre : 

     

    Jean-Pierre Boucret a 30 ans en 1794. Il serait né à Paris le 21 mai 1764, il est le fils d'un maître tapissier, Jean-Pierre Boucret et de Dame Anne-Charlotte Baugé. En 1782, il est soldat au régiment du Vivarais, en 1785 au régiment d'Orléans jusqu'en 1789, le 12 mai 1793 il est capitaine au 6ème bataillon des volontaires de Paris et général de brigade le 30 octobre de la même année. En 1794 il commande une Colonne Infernale, en 1795 il est à Belle-Ile-en-Mer et est réformé en 1797.

    Il épouse Marie-Françoise Cona. En 1820 il est domicilié au n°127 faubourg Saint-Vincent à Orléans, où il est qualifié d'ancien général de division, et décède en ce lieu le 17 août 1820 à trois heures de l'après-midi. (Acte de décès n°908 année 1820, vue n°305/500 archives municipales de la ville d'Orléans.)

    René Vigneron....

     

    René Vigneron est né le 29 mai 1752 à Chambretaud. Il est le fils de Pierre Vigneron et de Marie Ayrault. Il épouse le 25 juin 1781 aux Epesses, Marie-Anne Pasquereau, (vue n°22/152 année 1781, Les Epesses), née le 8 mai 1766 aux Epesses  ; fille de Jean Pasquereau et de Marie Merlet. A cette époque il exerce la profession de serviteur-domestique.

    De cette union sont issus cinq enfants :

     

    1° René Vigneron, né le 14 février 1783 la Ganache Les Epesses, † le 20 février.

    2° Marie-Anne Vigneron, née le 24 mars 1785, Les Epesses.

    3° René Vigneron, né le 10 mars 17888, Les Epesses.

    4° Prudence Vigneron, née le 30 décembre 1791, Les Epesses.

    5° Jean Vigneron, né le 10 janvier 1794, Les Epesses.

     

    Le 20 mai 1820, Marie-Anne Pasquereau dépose une demande de pension  :       

     

    '' N°808– Pasquereau Marie-Anne, née le 8 mai 1766 aux Epesses veuve de René Vigneron, soldat de l' Armée Vendéenne, tué aux Epesses le 21 janvier 1794, exerçant la profession de fileuse, indigente, domiciliée aux Epesses, quatre enfants, proposée pour une pension de cinquante francs – décision du 18 janvier 1815 ''-.

    Marie-Anne Pasquereau est décédée à la Bretèche aux Epesses, le 4 juin 1830 (vue n°294/397 les Epesses année 1830).

    René Vigneron....

    René Vigneron....

     

    Sources : Archives Départementales de la Vendée tous droits réservés. Dossiers de pensions, - vue n°4/10, SHD XU 39-9 du 20 mai 1820 – Registres d'état civil des communes de Chambretaud, Les Epesses, - Archives Municipales de la ville d'Orléans, tous droits réservés – Les 12 Colonnes Infernales de Turreau de Pierre-Marie Gaborit et de Nicolas Delahaye éditions Pays et Terroirs 1995 -  Itinéraires de la Vendée Militaire  Doré-Graslin éditions Garnier  1979 - Photo de l'auteur. 

                                                                    

     

    Xavier Paquereau pour Chemins Secrets 


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    Jean Chauveau, de la paroisse d'Ardelay, 

    tué au combat des Quatre-Chemins le 29 septembre 1793. 

                

                 

     

    Jean Chauveau....    Jean Chauveau est dit « tué au combat des Quatre-Chemins le 29 septembre 1793 ». Peut-être un accrochage aux Quatre-Chemins à cette date ?

    Aucun écrit ne parle de ce combat du 29 septembre. On ne parle seulement de ce lieu que le 16 août quand Tuncq s'y aventure. Le 23 les Bleus vont s'installer plus au Sud, au camp des Roches, ils en seront chassés le 5 septembre à la bataille dite de Chantonnay.

    On ne reparle des Quatre-Chemins que le 24 novembre 1793, quand une poignée d'insurgés passe à proximité pour aller déloger le poste républicain de Mouchamps

        

    Jean Chauveau est né vers 1757 à Vendrennes. Il est le fils de Louis Chauveau et de Marie Goineau de Vendrennes. Il épouse le 5 février 1782 à Vendrennes, Marie-Elisabeth* Pasquereau-Paquereau, (vue n° 63/119 année 1782), née le 15 juin 1759 à Ardelay ; fille de Jean-François Pasquereau et de Marie-Jeanne Morillon. A cette époque il exerce la profession de laboureur.

     

    * Marie-Anne ou Marie-Elisabeth, suivant les actes.

     

    De cette union sont issus trois enfants dont une fille survivante.

     

    1° Louise Chauveau, fille de confiance, née le 29 décembre 1786 à Vendrennes (vue n°17/108 année 1786). Mariée le 19 juin 1809 à Saint-Mars-la-Réorthe (vues n° 154,155/278 année 1809 – vue n°169/278, promesses de mariages).

      Seule héritière, (dossiers des successions 1813-1823, vue n°89/115) Héritiers : « Chauveau, sa fille à la Barillère. »

     

    Le 18 février 1820, Marie-Elisabeth Pasquereau dépose une demande de pension :       

     

    '' N°681– Pasquereau Marie-Elisabeth, née le 15 juin 1759 à Ardelay, veuve de Chauveau Jean**, tué au combat des Quatre-Chemins le 29 septembre 1793 – exerçant la profession de journalière – Trois enfants - touche une pension de quarante cinq francs par décision du 20 janvier 1815.''

     

    ** Il est dit tué au combat des Quatre-Chemins. Le 19 juin 1809 lors du mariage de sa fille Louise, l'Officier public, comme toujours, est très discret sur les causes de la mort de Jean Chauveau puisqu'il inscrit : ''Jean Chauveau, laboureur, décédé commune de Vendrennes le 29 septembre 1793''. Ce qui est faux.     

      Marie-Elisabeth Pasquereau est décédée le 3 juin 1820 à Ardelay (vue n°201/358, période 1817-1823), domiciliée à la Guilarderie à la Barillère.

    Jean Chauveau....

    Jean Chauveau....

     

     

    Sources : Archives Départementales de la Vendée tous droits réservés. Dossiers de pensions, - vue n°6/6, SHD XU 39.7 du 18 février 1820 – Registres d'état civil de la commune d'Ardelay, de Saint-Mars-la-Réorthe, de Vendrennes - Photo de l'auteur. 

                                                                      

     

     

    Xavier Paquereau pour Chemins secrets                                                           


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    La Renusière de Maulévrier…

     

     

    Extraits des notes de Louis-Abel Loiseau (1896-1958) sur la famille Loiseau. Documentation fournie par madame Christelle Blanchet-Dixneuf et publiée avec son aimable autorisation.

     

    RL

    Août 2017

     

     

    « Avant la révolution, mon arrière-grand-père Pierre Loiseau exploitait la ferme de la Renusière, commune de Maulévrier. Quel âge avait-il au moment des guerres de Vendée ? Était-il marié depuis longtemps ? Je l’ignore. Tout ce que je sais, c’est qu’au moment où les colonnes infernales ravageaient la Vendée, mes arrière-grands-parents avaient un bébé de quelques jours. On a beaucoup parlé à la fin de la guerre 39-45 des atrocités commises par les Boches surtout à Oradour où toute la population de la petite ville fut anéantie sauvagement. Hélas, les Boches n’avaient pas inventé la cruauté et la Vendée avait connu cela avant Oradour. Les colonnes infernales de la République française avaient beaucoup de ressemblance avec les S.S. d’Hitler avec cette aggravation qu’elles s’attaquaient à des Français qui défendaient surtout leurs croyances religieuses.

    Un jour de 1794, à la Renusière, les colonnes infernales sont signalées. « Allez-vous cacher ! » dit mon arrière-grand-mère Rose Gouin aux autres habitants de la ferme, « moi je reste car mon bébé, par ses cris, nous trahirait tous. » Elle reste, les Bleus arrivent ; ils sont deux qui se dirigent vers la pièce où mon arrière-grand-mère debout derrière la table, son bébé dans les bras, crânement les attend. Le premier soldat qui rentre met la Vendéenne en joue mais le deuxième se précipite en disant : « Fais pas ça malheureux ! » Au même moment, il pose la main sur le canon du fusil. Le coup part et foudroie le chien couché sous la table. Mon arrière-grand-père avait la vie sauve et la ferme ne fut même pas brûlée. Ils fouillèrent partout et ne trouvant rien, repartirent. Il existe encore chez mon frère aîné, à la Brarderie, une vieille armoire à une porte, qui porte encore les traces de deux coups de sabre donnés par les bleus. Le bébé qui était mon grand-oncle grandit et en 1830, étant resté vieux garçon, il suivit la duchesse de Berry dans sa tentative de soulèvement de la Vendée et fut tué dans les marais vendéens par les soldats de Louis-Philippe.

    Les habitants de la Renusière vécurent sans doute d’autres aventures pendant la grande guerre comme on disait, mais mon grand-père ne connaissait que cet épisode tragique d’ailleurs… »

     

    La Renusière sur le cadastre de 1810 :

     

    La Renusière de Maulévrier....

     


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    L’attaque de la garde nationale de Moncoutant…

     

     

    Le 6 février 1794, la garde nationale de Moncoutant subit une attaque que Philbert Doré-Graslin décrit en ces termes :

    « La garde nationale de Moncoutant escortant une « dizaine de  voitures chargées de grains et de fourrages » est attaquée, près de Courlay, par un rassemblement vendéen qui s’empare du convoi. Aussi Augé, commandant de la place de Bressuire, est-il de plus en plus inquiet de sa position. » (1)

     

    Commaire commande la place de Saumur est assisté de l’ex-curé constitutionnel Carpantier, devenu général, réputé pour sa violence et qui se tient à Doué-la-Fontaine.

    Lettre de Commaire au Comité de Salut Public du 7 février 1794 : (2)

     

     

    «  A Saumur, le 19° jour de pluviôse de l’an seconde de la République Française une & indivisible

    COMMAIRE

    Général divisionnaire de l’Armée de l’Ouest

     

    Aux membres composant le Comité de Salut Public…

    Je m’empresse, citoyens ; de vous envoyer copie de trois (raturé remplace par 2) lettres du général de brigade Carpantier et vous informer des échecs que nous venons d’essuyer. Je prends toutes les mesures de sureté possibles mais je désirerais être secondé et plus instruit que je ne le suis sur ce qui se passe dans l’intérieur de la Vendée ; aucune nouvelle ne me parvient. Si je suis instruit de quelque chose, ce n’est qu’au dernier instant ou par mes émissaires. L’union et l’accord sont seule notre force. Il faut correspondre souvent pour coopérer au bien de la chose commune et accélérer la destruction de cette horde infernale dont je désire vivement l’anéantissement, et c’est ce qui ne se fait pas assez.

    J’ai reçu aussi une lettre de Bressuire qui m’apprend qu’une partie de la garde nationale de Pon Coulan près Bressuire a été victime de son dévouement en conduisant un convoi de subsistances,

    Les Brigands en ont tués beaucoup. J’apprend, d’accord avec le régisseur général des vivres les mesures les plus promptes pour faire rentrer dans les magasins tous les grains, bestiaux et autres comestibles appartenant aux brigands qui sont dans les environs de Bressuire Argenton et autres lieux. Je prendrai toutes les mesures qui seront en mon pouvoir pour terminer cette infernale guerre.

    Salut, amitié et fraternité

    Le général divisionnaire

    Commaire à Saumur et environs

    Commaire

     

    L'attaque de la garde nationale de Moncoutant....

     

    Orthographe de la lettre respectée. Savary, qui retranscrit une partie de cette lettre (3) a dû se poser des questions sur ce « Pon Coulan » avant d’en déduire qu’il s’agissait de Moncoutant. Preuve, encore une fois, de la grande méconnaissance du terrain chez les généraux républicains et qui leur a coûté plus d’une fois dans de nombreux combats. 

    On sait que cette affaire aurait eu lieu près de Courlay. D’autre part, la garde nationale de Moncoutant s’en allait probablement amener ces subsistances à Bressuire. Il parait assez logique qu’elle ait pris le chemin de Moncoutant à Bressuire en passant donc près des Roches et de La Plainelière, au carrefour avec la route de Courlay à Chanteloup. Ce serait donc possiblement ici que les faits se sont déroulés.

    L'attaque de la garde nationale de Moncoutant....

    Ou du moins sur cette route :

    L'attaque de la garde nationale de Moncoutant....

    Le carrefour sur le cadastre de 1809, marqué d’une croix rouge :

     

    L'attaque de la garde nationale de Moncoutant....

     

    RL

    Août 2017

     

    Notes :

    (1)  « Itinéraires de la Vendée Militaire », Garnier, 1979, p. 120.

    (2)  SHD B 5/8-37 vue 11 et 12. 

    (3)  Tome III, p. 159.


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    Mathurin Veillet, de la paroisse d'Ardelay, 

    tué au combat de Luçon, en Août 1793. 

              

     

                 

    Mathurin Veillet....Le mercredi 14 août 1793 « La grande Armée Catholique et Royale attaque Luçon pour la troisième fois. Le plan arrêté la veille s'exécute mal. Tuncq s'en rend compte et écrase le centre vendéen commandé par d'Elbée, Donissan et Royrand ; malgré des prodiges de valeur de l'aile gauche. C'est la déroute qui est protégée par Charette, qui franchit la Smagne le dernier, au pont de la Minclaye. Baudry d'Asson qui s'était soulevé dans le Bressuirais dès l'été 1792, est tué ainsi que cinq mille* combattants Vendéens. »

     

    Le regroupement des Vendéens se fit à Chantonnay après la bataille. 

     

      *D'après Sapinaud de Bois-Huguet, les pertes vendéennes furent de deux mille morts. Cinq mille, selon le fascicule édité par l’ACPM : « Les Trois Batailles de Luçon », s.d. (2000…). 

          

    Mathurin Veillet est né le 11 août 1750 à la Buzenière paroisse des Herbiers. Il est le fils de Mathurin Veillet et de Renée Cousseau. Il épouse le 13 janvier 1778 à Ardelay, Louise Pasquereau-Paquereau  (vue n°24/235 année 1778 Ardelay) ; née le 5 août 1759 à  Ardelay, fille de René Pasquereau et de Marie Rotureau. De cette union sont issus : 

     

    1° Mathurin Veillet, né le 26 juillet 1779 à la Denerouze à Ardelay. 

    2° Jean Veillet, né le 21 juillet 1782 à Ardelay. 

    3° Jeanne-Aimée Veillet, née le 18 novembre 1784 à Ardelay. 

    4° Louis Veillet, né le 21 janvier 1788 à Ardelay. 

    5° Joseph Veillet, né le 5 août 1790 à Ardelay. 

    6° Pierre Veillet, né le 28 septembre 1792 à Ardelay. 

     

    Le 18 février 1820, Louise Pasquereau dépose une demande de pension : 

     

    ''  N°683 – Pasquereau Louise, née le 5 août 1759 à Ardelay, veuve de Veillet Mathurin – tué à Luçon le 25 août 1793* – bordier – six enfants – touche une pension de cinquante francs par décision du 20 janvier 1815.'' 

     

    Mathurin Veillet....

    Mathurin Veillet....

     

    * La bataille ayant eu lieu le 14 août 1793, Mathurin Veillet est peut-être mort de ses blessures le 25 août à Chantonnay où l'armée vendéenne s'était regroupée...  

         

    Sources : Archives Départementales de la Vendée tous droits réservés. Dossiers de pensions, - vue n°6/6, SHD XU 39-7 du 18 février 1820 – Registres d'état civil de la commune d'Ardelay et des Herbiers - Itinéraires de la Vendée Militaire p.66 par Doré Graslin, Editions Garnier 1979. - Photo de l'auteur. 

                                                                    

     

    Xavier Paquereau pour Chemins Secrets 


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