• Billet d'humeur....

    Le billet d’humeur du Loup…

     

    Ce mois d’août sera pour nous, le premier depuis déjà quelques années sans possibilité de partir en vacances. Ce n’étaient point de longues et couteuses vacances mais une fois par an, nous prenions plaisir à aller visiter d’autres régions de France, chargées elles aussi d’histoire et de beaux monuments.

    Pas de vacances, à cause d’un budget qui s’étiole, d’un revenu qui n’augmente pas en fonction du coût de la vie et qui a même tendance à diminuer. Un salaire tiré au plus bas, rendu légal par la prétendue loi des 35 heures, une monnaie fabriquée de toute pièce afin d’arranger la balance commerciale de l’Allemagne au détriment des autres pays d’Europe. Ces pays d’Europe à qui l’on a interdit une autonomie financière pour favoriser la spéculation et les endettements fictifs avec des sommes d’argent imaginaires et surtout cette république soi-disant française qui prétend régenter la société et ses opinions, un pied dans la tombe et l’autre dans le cloaque de la haute finance. Pas de vacances, disais-je, mais une inondation de taxes et de débilités en tout genre, sorties de la misérable cervelle de politiciens ne sachant même pas s’exprimer sur Internet sans faire quinze fautes d’orthographe à chaque ligne.

    La république n’a aucun pouvoir sur la misère sociale et économique de la France et encore moins sur les équilibres diplomatiques ou économiques. La république se gausse d’avoir fait passer à toute vitesse sans le moindre débat, une loi autorisant le mariage homosexuel et tout ce qui en découle sur l’inévitable trafic d’enfants. Tout opposant à cette loi étant systématiquement tabassé ou fiché par une « bleusaille » qui prétend se plaindre du système mais qui au fond est très heureuse d’y collaborer et de s’en engraisser. La république n’a de pouvoir que sur les limitations de vitesse qui comme on pouvait s’y attendre, ne sont plus assez rentables et que l’on s’apprête à diminuer. La république se fait dessus, elle pourtant si patriote et xénophobe en 1793, devant les bandes armées étrangères qui infestent ses villes. Comme à son habitude la république n’aime que la crasse et la misère, mais n’a aucun pouvoir pour le bonheur des français. Les maires de ses villages, n’ont d’autres occupations que de détruire des églises que même les non-croyants voyaient comme l’âme irréfragable de tout village. Ces maires qui promettent de nouveaux édifices, d’une laideur sans nom, imaginées par quelques petits copains architectes et francs-maçons, dont la grisaille et la tristesse éternelle de l’esprit, embrument  une conscience téléguidée par la pénombre des égouts et l’absence de rêve.

     

    Le français n’est pas et n’a jamais été un révolutionnaire, nous en avons la preuve aujourd’hui. Le français s’échine au travail, quand il peut encore en obtenir un et se laisse insulter et mépriser par ceux qu’il continue, bon an mal an, de faire vivre à grands frais, qu’ils soient racailles, flicailles ou autres profiteurs, de droite ou de gauche.

    Bien sûr, le Net permet des informations plus naturelles et qui échappent au diktat politique officiel (nous savons depuis la prétendue loi Hadopi que la république n’a en fait aucun pouvoir sur le Net et certainement pour longtemps encore, il est clair qu’avec des ministres ou députés à demi-illettrés, faire des lois, ça peut s’avérer assez compliqué). Mais au final, qu’apprenons-nous de plus avec des médias qui se copient les uns les autres ? Qu’apprenons-nous de plus que ce que le regard sur votre bulletin de salaire et le prix du kilo de patates ne peut vous apprendre ?

     

    A quand l’hiver ? A quand la neige, la glace et le verglas ?

     

    RL

    Août 2013, veille de l’Assomption

     

     

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