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    Le moulin de la Colle…

     

    C’est un clin d’œil amical que j’envoie ici à monsieur X-A Paquereau avec le moulin de la Colle de la Renaudière où son ancêtre aurait caché plusieurs fois madame de Bonchamps. On lira le fruit de ses recherches personnelles ici :

    http://alliance.royale.ouest.touraine.overblog.com/la-%22ba%C3%AFonnette-royale%22-n%C2%B02---le-coin-du-g%C3%A9n%C3%A9alogiste

     

    RL

    Juin 2013

     

    Le moulin de la Colle sur l’IGN.

     

    Le moulin de la Colle....

     

    Le moulin de la Colle sur le cadastre de 1834. On notera qu’un chemin qui n’existe plus reliait le moulin de la Colle au village du même nom.

     

    Le moulin de la Colle....

     

    Au loin, le clocher de Roussay...

    Le moulin de la Colle....

    Le moulin de la Colle....

    Le moulin de la Colle....

     

     


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  • Une question de choix…

     

    Nous présentons ici un article de Henri Bourgeois, posté par La « Maraîchine normande » sur son blog :

    http://shenandoahdavis.canalblog.com/archives/2013/06/02/27315163.html#

     

    Lors de la venue de Lech Walesa aux Lucs-sur-Boulogne le 18 avril dernier, les élus de gauche ont argué pour expliquer leur non participation au 220° anniversaire du soulèvement vendéen que "la révolution française est un bloc", citant ainsi Clémenceau,  que "l'élu républicain comme le citoyen doit accepter ou rejeter dans son intégralité". Voilà donc un très bon argument. Si la révolution est un bloc, on ne doit donc pas la dissocier des colonnes infernales et des ordres génocidaires élaborés sous la terreur. On ne peut non plus la dissocier de la république actuelle qui se réclame de la révolution. S'il faut l'accepter ou la rejeter, le choix est vite fait, ne pensez-vous pas ?

     

    RL

    Juin 2013

     

     

    Une question de choix...

     

     


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  • 23 juin…

     

    C’est au départ une idée de sortie entre amis qui a pris un peu d’ampleur…

    Le 23 juin prochain, votre serviteur organise une journée vendéenne autour de Gesté. Etant donné que les demandes de participation sont plus importantes que ce que je ne peux gérer, j’ai mis les « Brigands du Bocage » et notre ami Nicolas sur l’affaire comme en témoigne le lien suivant :

    http://guerredevendee.canalblog.com/archives/2013/06/01/27305505.html#

    Pour ceux qui me connaissent, vous pouvez bien entendu me contacter par les voies habituelles. Ceux qui sont habitués de « Chemins secrets » peuvent également mettre un commentaire sur cet article afin que je les contacte. En ajoutant un commentaire, il vous sera demandé votre adresse mail, qui ne sera pas communiquée sur le blog bien entendu.

     

    RL

    1er jour de juin 2013

     

     

    Journée du 23 juin....

     


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  • Les rochers de Boussinioux…

     

    Suite à la publication de la Maraichine Normande sur son blog, nous avons fait le déplacement par une belle journée printanière.

    http://shenandoahdavis.canalblog.com/archives/2013/05/25/27238207.html

     

    Ce chaos granitique, situé tout près de l’ancien bourg de la Chapelle-Seguin et du célèbre « Rocher branlant », nous rappelle que tout la vallée de la Sèvre Nantaise est parsemée de ces « chirons » énormes, restes des caprices de la nature des premiers âges. On les trouve partout de la Gâtine des Deux-Sèvres à la Suisse vendéenne, jusqu’au « Pré aux bleus » de la Verrie, en passant par Saint-Mesmin, Mallièvre et Mortagne. Quelques images d’un beau dimanche, sous un soleil longtemps attendu.

     

    RL

    Mai 2013

     

    Pénélope est arrivée…

     

    Les rochers de Boussinioux....

    Les rochers de Boussinioux....

    Genêts en fleur…

    Les rochers de Boussinioux....

    Les rochers de Boussinioux.... 

    Les rochers de Boussinioux.... 

    Les rochers de Boussinioux.... 

    Les rochers de Boussinioux.... 

    Les rochers de Boussinioux.... 

    Les rochers de Boussinioux.... 

    Les rochers de Boussinioux.... 

    Les rochers de Boussinioux....

     

    Une petite vidéo d’un endroit où le temps n’a pas de prise…

     


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    Les Quatre-Chemins de l’Oie…

     

    Certainement l’un des endroits les plus stratégiques de la Vendée du Centre, ce carrefour fut longtemps le croisement des routes de Nantes à la Rochelle et d’Angers aux Sables d’Olonne. Même si depuis quelques années, la circulation la plus importante se passe sur les autoroutes Angers-Les Sables d’Olonne et Nantes-Bordeaux, qui se croisent à proximité, les « Quatre chemins de l’Oie » n’en demeurent pas moins un lieu de fréquentation automobile très important, notamment en été.

    Très convoité autant par les bleus que par les blancs durant toute la guerre, Charette et Joly s’en emparent le 11 décembre 1793 et une anecdote assez savoureuse en est restée. Charette commence à attaquer par le Sud, du côté de Sainte-Cécile. Pendant ce temps Joly arrive par l’Ouest depuis Les Essarts. Couëtus est en position médiane. Joly qui s’impatiente de ne pas voir arriver Charette et Couëtus, s’engonce dans un grand manteau et s’élance à cheval au milieu de la nuit vers le camp républicain, seulement accompagné de quelques hommes à qui il aurait, dit-on, fait porter une cocarde tricolore. Les soldats républicains le prenant pour un gradé des leurs, lui demandent où en sont les nouvelles et s’ils vont avoir à se battre ou à partir.  Joly leur répond qu’il va falloir se battre et que les brigands sont sur leurs flancs. A la question de savoir si des renforts vont arriver, il leur répond qu’il y en a dans le bois voisin qui n’attendent qu’un ordre pour apparaître et qu’il s’en va justement les prévenir. Joly pousse le vice jusqu’à leur demander de prévenir leur commandant que leur artillerie est mal tournée. De là, il rejoint Charette, puis repart comme il était venu, sans éveiller le moindre soupçon. La bataille s’engage alors, furieuse, et il n’échappe pas la moitié des 2 000 républicains stationnés ici. Les républicains auraient d’eux-même surnommés le camp des Quatre-Chemins, le « tombeau de la république ».

    Revenus au début de l'année 1794, Charette les en délogera à nouveau le 4 décembre 1795.

    Le 8 août 1808, Bonaparte, passera par deux fois aux Quatre Chemins de l’Oie. Il observa la position et en conclu : « Bonne position pour une guerre de partisans. » Un certain Martineau de Saint-Fulgent, notable républicain, lui réclama la propriété de la forêt du Parc-Soubise dont la république avait dépossédé la maison de Chabot, au profit de la commune de Saint-Fulgent. Bonaparte lui demanda qui il était sur un ton agacé. « Je suis un ex-représentant du peuple, sire. » L’empereur auto-proclamé lui répondit : « Ex ? Alors monsieur vous n’êtes plus rien, taisez-vous ! »

    Le 15 mai 1815, ce sont les gendarmes de Bonaparte qui essuieront à leur tour un revers de la part des Vendéens à nouveau en guerre, aux Quatre-Chemins. Un monument à la gloire de Charette fut commencé en 1828 et la duchesse de Berry était venue en poser la première pierre. Sous l’usurpation orléaniste de 1830, on plaça un drapeau tricolore sur  une colonne de l’édifice non achevé. Puis, ce sera la 5° Guerre de Vendée en 1832… Le monument sera rasé en 1845.

     

    RL

    Mai 2013

    Le général Joly aux Quatre-Chemins, gravure de Thomas Drake dans l’Album Vendéen.

     

    Les Quatre-Chemins de l'Oie....

     

    Les Quatre-Chemins aujourd’hui…

     

    Les Quatre-Chemins de l'Oie....

    Les Quatre-Chemins de l'Oie....

     

    Croix à la mémoire de Royrand et des premiers combats du printemps 1793.

    Les Quatre-Chemins de l'Oie....

    Les Quatre-Chemins de l'Oie....

     


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